Dépenses de fonctionnement

 

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Comment expliquer cette disparité dans le montant des dépenses des communes ?

Non par l’évaluation des besoins de la population… mais par le seul fait que les plus dépensières bénéficient de recettes plus importantes !

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    les charges financières correspondent aux intérêts de la dette.

    Les charges exceptionnelles ne peuvent être déterminées qu’au cas par cas

    les atténuations de produits sont les compensations versées au Grand Lyon par les communes qui avaient un déficit de taxe professionnelle lors de l’échange de 2003 avec les impôts « ménages ». Ces compensations qui perdurent depuis 12 ans sont-elles justifiées ?

    il ne nous a pas été possible de donner le détail des « autres » dépenses.

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    Ce graphique tient uniquement compte des dépenses courantes, c’est-à-dire hors charges financières et charges exceptionnelles.

    Les charges de personnel sont très élevées à Saint-Fons, Vaulx-en-Velin et Vénissieux… plus du triple de celles de Tassin !

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C’est le graphique identique au précédent, mais en pourcentage

          On notera l’importance des charges de personnel. Elles atteignent en moyenne 63% du total. Il est à remarquer qu’il y a 15 ans, quand CANOL a commencé ses études, les charges de personnel représentaient environ 50% des charges courantes !

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Les charges à caractère général correspondent à l’utilisation des bâtiments communaux, à leur chauffage, à leur entretien, aux matériels et véhicules utilisés.

Elles incluent également les dépenses de communication et les déplacements.

Saint-Priest mis à part, ces dépenses paraissent proportionnelles à l’ensemble des dépenses des communes !

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Les « autres charges de gestion courante » incluent principalement les subventions versées aux CCAS ( Centres Communaux d’Action Sociale) et aux associations de la commune.

Elles comprennent également les indemnités des élus.

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Ces charges correspondent :

  • aux versements au Fonds de Péréquation Intercommunal et Communal (FPIC)
  • et surtout aux compensations que versent au Grand Lyon les communes qui avaient un déficit de taxe d’apprentissage par rapport aux impôts ménage échangés.

Ce dernier versement, d’après l’avis de CANOL, n’a plus de raison d’être et devrait donc être amené à disparaître.